ODE INTERCALAIRE
Ca ne casse pas trois pattes à un canard
Cher God, j’ai découvert Ton site par hasard,
Avoir un polichinelle dans le tiroir
Il y a presque un an, car je voulais savoir
Attendre quelqu’un comme les moines l’abbé
Le sens d’une expression qui s’était dérobé
Se demander si c’est du lard ou du cochon
A mon esprit fourbu de petit godichon.
Faire contre mauvaise fortune bon cœur
De suite j’appréciai le grand esprit moqueur,
Ne pas se trouver sous le sabot d’un cheval
Averti, cultivé, et toujours sans rival
Ne pas être tombé de la dernière pluie
Du génial Elpépé, remède anti-ennui,
La critique est aisée mais l’art est difficile
Fier marin qui chez moi a trouvé domicile,
Etre réglé comme du papier à musique
Et reçu mon accord, instantané, basique,
Des goûts et des couleurs, on ne dispute pas
Car toutes ses saillies étaient de vrais repas.
Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage
Grâce à lui, Expressio était un pâturage
On lui donnerait le bon Dieu sans confession
Où je paissais, heureux, ému, avec passion,
Au pays des aveugles, les borgnes sont rois
Apprenant tour à tour le noroit, le suroit,
Chassez le naturel, il revient au galop
Tout le jargon obscur de ce grand matelot.
Se croire le premier moutardier du Pape
Aujourd’hui il n’est plus, et son discours m’échappe.
Ne pas attacher son chien avec des saucisses
Je ne serai toujours qu’un incertain novice.
Scier la branche sur laquelle on est assis
Pour le peu que je sais, je lui dois grand merci
Y’a pas à tortiller du cul pour chier droit
Et il m’a bien souvent servi de pied-droit.
S’en moquer comme de sa première chemise
Si j’adore Expressio, c’est par son entremise,
On ne peut à la fois être juge et partie
Et je fête ce lustre en toute modestie.
Cher God, j’ai découvert Ton site par hasard,
Avoir un polichinelle dans le tiroir
Il y a presque un an, car je voulais savoir
Attendre quelqu’un comme les moines l’abbé
Le sens d’une expression qui s’était dérobé
Se demander si c’est du lard ou du cochon
A mon esprit fourbu de petit godichon.
Faire contre mauvaise fortune bon cœur
De suite j’appréciai le grand esprit moqueur,
Ne pas se trouver sous le sabot d’un cheval
Averti, cultivé, et toujours sans rival
Ne pas être tombé de la dernière pluie
Du génial Elpépé, remède anti-ennui,
La critique est aisée mais l’art est difficile
Fier marin qui chez moi a trouvé domicile,
Etre réglé comme du papier à musique
Et reçu mon accord, instantané, basique,
Des goûts et des couleurs, on ne dispute pas
Car toutes ses saillies étaient de vrais repas.
Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage
Grâce à lui, Expressio était un pâturage
On lui donnerait le bon Dieu sans confession
Où je paissais, heureux, ému, avec passion,
Au pays des aveugles, les borgnes sont rois
Apprenant tour à tour le noroit, le suroit,
Chassez le naturel, il revient au galop
Tout le jargon obscur de ce grand matelot.
Se croire le premier moutardier du Pape
Aujourd’hui il n’est plus, et son discours m’échappe.
Ne pas attacher son chien avec des saucisses
Je ne serai toujours qu’un incertain novice.
Scier la branche sur laquelle on est assis
Pour le peu que je sais, je lui dois grand merci
Y’a pas à tortiller du cul pour chier droit
Et il m’a bien souvent servi de pied-droit.
S’en moquer comme de sa première chemise
Si j’adore Expressio, c’est par son entremise,
On ne peut à la fois être juge et partie
Et je fête ce lustre en toute modestie.
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